MON CALVAIRE
La foule ... mon calvaire
Quand ses griffes me serrent
Et que le stress progresse.
Une boule d'angoisse
Me dévore sans répit
Me coupant tout appétit.
Les mains deviennent moites,
Et l'vide dans ma tête
Accroît mon agitation
Troublant mes nuits sans raison.
La voix part dans les aigus
Je bégaye et pour mon plus
Grand désespoir, je tourne
Au ton, orange sanguine.
Les genoux castagnettes,
Qui jamais ne s'arrêtent,
Font trembler sans relâche
Tout mon personnage.
Au bon moment, je puise
En moi assez d'audace
Pour affronter ce monde
Qui me met en déroute.
©Mannuella Iseni
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